François Laudinas

Je vous transmet la photos du défunt laudinas pour la première des couverture Merci d avance

En ces moments douloureux , sachez que nous sommes de toit coeur avec vous. La perte de notre papa FRANÇOIS est immense ,mais son souvenir restera à jamais dans nos cœurs.

Tu sais papi, depuis qu’on m’a annoncé ta mort, je suis dans le déni. Lorsqu’on m’a annoncé que tu étais à l’hôpital, je me suis simplement dit: « Oh, c’est Papi, il est fort papi, il va revenir dans deux semaines.». Je m’étais promise d’aller te voir mais je ne l’ai pas fait en pensant que tu serai encore et toujours là, comme d’habitude. Car je me tâtais à croire que rien ne pouvait t’atteindre. Mais dès lors que je suis entrée dans l’appartement il y a quelques jours, je n’ai pas entendu la télé allumée ou ton si précieux « Bébé ? » par lequel tu surnommais et appelais si tendrement mamie à chaque fois que le son traînant de la porte se faisait entendre; quand je t’ai vu pour la dernière fois à l’intérieur de ton cercueil, j’ai pensé: « Ah. Il est vraiment parti. Papi ne reviendra pas. Ni de l’hôpital, ni des morts. » Je n’ai pas pu te dire au revoir comme il se devait pendant que tu étais encore vivant. Je n’ai pas pu entendre une dernière fois ton affectueux « ma puce » de ta petite voix rocailleuse… Tu sais, papi, parfois, je me plaisais à te bouder. Tu étais borné, et pensais toujours avoir raison. (C’est dur de l’avouer mais la plupart du temps, c’était bien le cas…) Mais tu étais mon papi, notre papi. Papi il est chiant, mais c’est papi, il est ce qu’il est. Papi est ceci, cela, mais c’est notre bon vieux papi, on ne peut que l’aimer. Tu sais, papi, parfois je revois, quand je me réveillais le matin, et vous trouvais, mamie et toi installés dans la cuisine, devant vos bols (de l’homme parfait et de la femme parfaite), un œil sur la télé, un œil sur l’autre, tous deux déterminés à critiquer avec enthousiasme les images qui défilaient. Et un sourire se dessine tout seul sur mes lèvres. Tu sais, papi, mamie pleure beaucoup... Tes filles aussi. Et tes petits enfants aussi. Tu nous manques. Tu sais papi, je ne veux pas t’enterrer… Mais tu es enfin au repos, loin de toute cette souffrance. Tu m’avais dit un jour : « Tu sais ma puce, j’aimerais retourner au Cameroun, mais je ne peux plus… Même descendre en bas je ne peux plus. ». Tu étais détenu tel un prisonnier que la maladie avait soudainement enchaîné à son lit. Alors papi, j’espère qu’où tu te trouves, tu es enfin libre. Je te souhaite un paisible repos.

Cet hommage n'est visible que par la famille

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Mon petit papa, Les mots me manquent alors quand tu auras un moment tranquille lit le petit mot que j’ai glissé sur ton ❤️. Je t’aime Ta fille qui t’a pardonné

À ma grande sœur Bernadette Laudinas et à ses enfants Je vous adresse mes plus sincères condoléances en ce moment de deuil. Et vous témoigne toute ma sympathie et mon Soutien. Je vous souhaite tout le réconfort, le soutien moral,et la bienveillance que vous méritez dans ce moment difficile *DOUX REPOS TONTON LAUDINAS*

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