Photo de Monsieur Claude Lyaouanc

Claude Lyaouanc

Décédé le 25 octobre 2022 à l'âge de 85 ans
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Photo de Monsieur Claude Lyaouanc
Claude Lyaouanc
Décédé le 25 octobre 2022 à l'âge de 85 ans

Cérémonie civile

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Cimetière de Médard
9 Place de l'Église
78990 Élancourt
vendredi 04 novembre 2022 à 15h00
groups

Message de la famille

Chère famille, chers amis,

Raymonde, son épouse,
Jean-Claude et Jérôme, ses fils,
Jennifer, Christopher et Léonie, ses petits-enfants,
Nelly et Céline, ses belles-filles, 
ont le profond chagrin de vous faire part du décès de Claude Lyaouanc, survenu le mardi 25 octobre 2022 à Le Chesnay.

Nous avons souhaité laisser cet espace privé à votre disposition afin que vous puissiez y exprimer, si vous le désirez, vos condoléances et/ou le souvenir d'un moment passé en hommage à notre papa, époux et grand-père. 

La veillée funéraire s'effectuera du Vendredi 28 Octobre au Vendredi 04 novembre 2022 dans la chambre funéraire de l'hôpital André Mignot à Le Chesnay. 
La cérémonie civile suivie de l'inhumation se déroulera le vendredi 04 novembre 2022 à 15h00 à l'adresse suivante : Cimetière de Médard - 9 Place de l'Église - 78990 Élancourt.

Nous vous remercions pour votre soutien et vos nombreuses marques d'affection. 
 

Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

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Déroulé des obsèques

  • 1

    Repos en salon funéraire

    location_on
    Hôpital André Mignot
    177 Rue de Versailles
    78150 Le Chesnay-Rocquencourt
    Du mardi 25 octobre 2022 à 20h00 au vendredi 04 novembre 2022 à 14h00
  • 2

    Cérémonie civile

    location_on
    Cimetière de Médard
    9 Place de l'Église
    78990 Élancourt
    Le vendredi 04 novembre 2022 à 15h00
  • 3

    Inhumation

    location_on
    Cimetière de Médard
    9 Place de l'Église
    78990 Élancourt
    Le vendredi 04 novembre 2022 à 15h30

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31 hommages ont été rendus

  • Il y a 1 an
    Jérôme

    Alors ça y est papa, tu es parti…
    Comment s’y résigner ?
    Comment accepter ton absence ?  
    Comment combler ce vide que tu as laissé à la maison ?  

    En sortant les photos de famille cette semaine, ces photos que tu aimais tant regarder, nous avons pu reconstituer le fil de ta vie, de ton histoire. Ces photos ont ravivé les souvenirs, des anecdotes que tu aimais nous raconter. On s’est surpris à sourire, parfois même à rire avec Jean-Claude et maman.  
    Progressivement, une évidence s’est imposée : tu pouvais partir en paix.  Oui, mon cher papa, tu peux partir tranquille. Tu as eu une vie heureuse. Toutes ces photos en témoignent.

    Enfant ou adulte, malgré le temps qui a passé vite… trop vite…de celui qui t’as laissé des cheveux blancs et creusé des rides, tu es resté le même, un pitre, rieur, joueur et taquin.

    Ton enfance y est sans doute pour quelque chose. Tes parents aimants, Juliette et Julien, ont toujours su, malgré les difficiles années de guerre et d’après-guerre vous élever dans l’amour, toi et tes sœurs Mireille, Arlette, mais aussi Danielle et ton frère Marcel que tu as perdu trop tôt.

    Quand tu nous racontais ces années-là, c’était toujours avec la nostalgie des temps heureux. Il paraît même que tu ne nous disais pas tout ! Tu sais cette histoire de grange qui a mystérieusement brûlé ou celle de la conserve vide lancée à la tête de ta sœur Mireille … Mamie Juliette nous relatait souvent « tes exploits » et je m’empressais toujours de te les rappeler une fois rentré à la maison. À chaque fois, tu t’exclamais « Mais, elle raconte n’importe quoi ma mère ! ».  Tes sœurs, elles, nous confirmaient que c’était bien vrai.  Moi, ça me faisait bien rire. Même adulte tu tentais de nous cacher tes bêtises de gamin. Tu avais gardé une âme d’enfant.

    À 20 ans, comme tous les jeunes de ta génération, tu as été appelé en Algérie…. Tes premiers mois ont été difficiles. Je le sais. J’ai lu ton carnet intime. Je découvrais ainsi un jeune homme de mon âge, 20 ans, qui avait un style et une écriture profonde que je n’imaginais pas. Surtout, je découvrais tes sentiments. Ton pays te manquait, tes parents et tes proches davantage encore. Tout ça pour une guerre que tu ne comprenais pas. Tu répétais souvent, d’ailleurs : « j’ai perdu trois ans de ma vie là-bas ». Mais ce fut aussi l’époque des amitiés avec les gars du régiment. Sur les photos, tu es toujours à faire le clown avec tes camarades. La moustache aussi était de mise… même ça, ça t’allait bien. T’étais vraiment un bel homme ! Tu « présentais » comme le dit maman.

    Tu aimais nous expliquer pourquoi là-bas tout le monde t’appelait « La Pompe ». Tout est encore parti d’une pitrerie, de ta part, dans les rangs de ton régiment. Tu nous l’as tellement racontée cette histoire, celle du haut gradé qui s’est approché de toi et qui pour te punir t’a demandé de faire dix pompes. Comme tu ne savais pas ce que c’était, les pompes, il a dû te montrer et tu as dû, en retour, en faire le double.  
    Tu as dû être le seul appelé de France à avoir fait faire des pompes à un haut gradé. Quel talent !

    C’est, d’ailleurs, durant cette période que tu as rencontré maman, dans le train, en partance pour ton service militaire.  À ton retour vous avez « frayé » comme tu disais. Tu utilisais de ces mots parfois…

    Pour toi, maman, ça a toujours été une évidence. Pour ta belle-mère moins ! Si bien qu’elle te coursait avec une fourche pour te faire fuir. En même temps, pour l’italienne catholique et très croyante qu’elle était, voir un jeune breton, athée, à la réputation de coureur de jupons tourner autour de sa fille … faut avouer qu’il y avait de quoi s’inquiéter !
     Elle a finalement compris qui tu étais vraiment et surtout, combien tu avais des sentiments profonds pour maman. En même temps, cela sautait tellement aux yeux. Vous avez fini par vous entendre. Comme vous viviez sous le même toit, il valait mieux d’ailleurs. Quand j’y pense vous serez à nouveau voisins ici. C’est beau !

    Maman, ta « petite femme » comme tu disais. Ca fait peut-être un peu fleur bleue mais… depuis le début, tu as toujours été fou amoureux d’elle. Tu nous l’as toujours dit. Il y a encore quelques années en Normandie, tu nous avouais à Céline et moi : « ma femme, elle est ce qu’elle est, mais je l’aime ». Quelle belle phrase.
    Tu l’appelais tantôt Raymondine ou encore « Mon cadeau de mariage ». Lorsque tu ne la voyais plus, au bout de cinq minutes, tu demandais « elle est où ma femme ?». Elle était ton repère. Sur les photos, d’ailleurs, on vous voit enlacés, heureux, épanouis, alternant les fêtes entre famille et amis.

    Ah ! les fêtes ! ces fêtes que vous nous avez mille fois racontées. Vous partiez pour une simple soirée et au final ça pouvait durer trois jours. Ça devait être quelque chose ces moments-là, avec vos amis, tous aussi fous que toi… Lacaille, René, Fernand et tant d’autres…
    D’ailleurs, Fernand repose juste en face de toi. René est à quelques mètres aussi…  Je n’ose même pas imaginer le Bazard que vous allez mettre. N’en faites pas trop quand même… En même temps…  si comme je le pense, la fête continue là-haut, vous ne m’écoutez déjà plus.

    Puis, il y a eu la naissance de Jean-Claude, en 1967. Vu la tête qu’il a sur les photos, j’imagine que vous en étiez complètement dingue. Un beau p’tit gars comme on dit. Vous n’avez pas pour autant arrêté de festoyer… au contraire. Vous l’ameniez à toutes vos soirées et vous aimiez expliquer, avec fierté, qu’il n’était pas embêtant. « Quand ça durait trop longtemps, il s’endormait à même le sol ». Vous l’avez trainé partout, de l’île de Ré à Praz-sur-Arly et même jusqu’en Italie.
    Il a grandi, Jean-Claude, et tu lui as transmis ta passion de la chasse. Vous avez partagé cette passion jusqu’à ce que tu n’aies plus la force de marcher. Mais, chaque jour, Coco, toujours fidèle au poste, te racontait ses anecdotes de chasse. Je voyais dans ton regard que tu prenais un vrai plaisir à l’écouter. Forcément, il raconte sa chasse comme tu le faisais, avec ferveur, tout en expressions drôles comme « je vise bien mais je tire mal » et en bruitages exceptionnels : « tadaga, tadaga, tagada… » ou encore le fameux « Pendon, pendon »


    Je suis arrivé à mon tour dans votre vie en 1976. Certain que je serais une fille, tu voulais m’appeler Nathalie. Mais, pas de chance, c’était encore un garçon.
    Si j’en juge par l’enfance que j’ai eu, vous ne m’en avez pas tenu rigueur avec maman. Mon enfance, en effet, a été des plus heureuses. Entre les week-end en Eure-et-Loir et les vacances à la mer, en Normandie et ailleurs, nous nous sommes bien amusés et nous en avons bien profité. J’ai ce souvenir des parties de pêche avec toi, mais aussi des parties de pétanque, des batailles d’eau que l’on faisait dans notre grand terrain. On voyait la famille, tes sœurs, les cousins, les cousines, on recevait les amis, on mangeait les uns chez les autres… bref la belle vie !

    À la maison, nous regardions les matches de foot ensemble et tous les dimanches tu venais me voir jouer. Tu me donnais dix francs par but. Du coup, j’en marquais pas mal. Grâce à toi j’étais devenu joueur professionnel.  C’était le bon temps.
    Lorsque j’étais ado, puis jeune adulte, avec mes amis, notre point de rendez-vous était toujours le « 12 route du Mesnil ». Je ne me suis jamais posé la question de savoir pourquoi…mais votre maison était notre lieu de rassemblement. Pourquoi ici et pas ailleurs ? j’ai compris en lisant les textes en ton honneur. Mes amis comme ceux de Jean-Claude se sont toujours sentis les bienvenus à la maison. Toi et maman aviez le sens de l’accueil. Vous saviez toujours mettre les gens à l’aise. Comme le dit ta nièce et filleule, Roseline dans son magnifique hommage « Toujours dans le partage, tu avais un cœur énorme ».

    Tu as ensuite connu tes belles-filles, Nelly et Céline… « tes brues » comme tu aimais les appeler. Encore un vieux mot que toi seul utilisait. Un mot chargé d’affection. Tu les as reçues dans la famille, comme si elles avaient toujours été là. Ton humour et ta bienveillance, qui t’ont toujours caractérisé, ont été le ciment de notre famille. Tu les aimais bien tes brues …

    Puis, le temps lui a passé. Doucement, mais sûrement. Tu as eu la chance de connaître tes petits enfants. Jennifer, Christopher puis Léonie.
    Christopher, d’ailleurs, me disait il n’y a pas longtemps qu’il avait été marqué par une phrase que tu avais dite à Nelly, en Normandie, quand il était petit : « je suis déçu car je ne vais pas le voir grandir ». Tu pensais toujours que tu allais partir trop tôt. Eh bien si, tu les as vu grandir, Jenni et Christo !
    On aurait aimé que tu vives encore longtemps pour voir grandir Léonie, que tu puisses partir à la pêche aux coques ou aux moules avec elle, que tu râles encore après elle parce qu’elle ne termine pas son assiette, que tu la connaisses adolescente, jeune femme… Mais ne t’inquiète pas, elle gardera un très beau souvenir de toi et elle cherchera toujours dans le ciel, quand tu lui manqueras, l’étoile de papy, celle qui veillera toujours sur elle. 
    Avec tous tes petits enfants, papa, tu as été un papy aimant, drôle et bienveillant. Tu allais même jusqu’à barboter dans leur piscine comme un gamin, juste pour les faire rire.
    Le rire, encore le rire. Je me rends compte qu’il nous a toujours accompagné.  Le rire et l’humour… jusqu’au dernier moment…

    Quand j’étais petit tu m’appelais « mon bâton de vieillesse ». Je ne comprenais pas vraiment ce que ça signifiait. Ces derniers mois j’ai bien compris. A défaut de bâton de vieillesse, Jean-Claude et moi avons été tes deux béquilles. J’ose espérer qu’on a été assez solide pour toi. En tout cas, saches que l’on t’a accompagné du mieux, comme on a pu mon cher papa. Toi et maman avez fait de nous les hommes que nous sommes. On ne vous remerciera jamais assez pour tout l’amour et la joie que vous nous avez donné. Et ne t’inquiètes pas papa nous nous occupons bien de maman, comme nous te l’avons promis… mais ça tu le sais déjà…

    Alors on pourrait continuer encore et encore de parler de ces formidables fêtes de famille, celles de Noel que l’on faisait à la maison avec les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, on pourrait continuer de se rappeler des baignades en Normandie, de ces moments où tu nous amenais à la pêche aux coques, ou aux moules, on pourrait parler des promenades dans le bois de Monsieur Gagne, on pourrait parler de bien des choses encore mais … je t’entends déjà grogner, dire que c’est trop long, qu’il est temps maintenant de partir. Il est temps…
     
    Alors, comme il faut bien conclure, comme je te le disais papa, notre papa, tu peux partir tranquille. Tu peux partir tranquille…
     

    Souvenir de Monsieur Claude Lyaouanc par Jérôme
  • Il y a 1 an
    Tran duy gaetan

    Toutes nos condoléances.
    Que de souvenirs entre les Noels, les matchs du PSG et ces vacances en Normandie...

    Bon courage à toute la famille.

    Gaëtan et Magalie 

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    Merci Gaëtan, merci Magalie. C'est vrai qu'on en a passé de bons moments ensemble. Ce ne sont que de bons souvenirs. Bises
  • Il y a 1 an
    Christiane et claude stassinet

    C'est avec grande tristesse que nous avons appris la disparition de Claude.
    Nous vous présentons nos sincères condoléances. 
    le Claude que je suis se souvient toujours de votre Claude que je connaissais depuis les années 60.... Ma mobylette m'amenait souvent devant la maison de ses parents.... Ensuite il était  à quelques maisons de nous..... 
    Bon courage à tous.
    Christiane et Claude.

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    Merci Christiane, merci Claude pour votre message. A bientôt. 
  • Il y a 1 an
    Christelle

    Ne pouvant être présents vendredi avec vous, nous vous accompagnerons par la pensée.

    Je pense à cette maison toujours ouverte, à la façon dont Claude et Raymonde nous ont toujours accueillis. Être la femme de Dany a bien évidemment facilité les choses, mais, au fond, je crois que leur porte n'est jamais vraiment fermée.

    Je pense à Raymonde, à Jérôme, Céline et Léonie  à Jean-Claude, Nelly, Jenny et Christo, à Mireille, à Roselyne, à tous ses neveux et nièces... qui doivent ressentir un grand vide aujourd'hui.

    Je vous souhaite beaucoup de courage pour ces moments difficiles, mais je crois que ce que Claude aurait aimé, c'est que chacun garde au chaud le souvenir des bons moments partagés. Et en lisant les hommages, je crois que c'est ce qui est en train de se produire.

    Gros bisous à toute la famille et bon vent à Claude.

    Christelle.

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    Merci Christelle. Tu as bien défini notre maison : une maison toujours ouverte. Les amis et la famille y sont toujours les bienvenus. Sans papa, cela fait un vide... mais vous passez nous voir et voir maman, quand vous voulez. 
  • Il y a 1 an
    Daniel Domingues

    Salut mon claude, 

    Quel tristesse de te voir partir! On aurait pu passer encore de bons moments ensemble, comme regarder les matchs de foot à Élancourt.
    De supers souvenirs en Eure et loir, en passant par la Normandie. 

    Bisous à la famille Lyaouanc et soyez fort.

    Daniel. 


     

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    Merci mon Dany. Eh oui, on en a passé de bons moments avec "Le Glaude". 
  • Il y a 1 an
    Nicolas Theuray

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 1 an
    Peggy jean François Betty et antoine

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 1 an
    Jean-Claude Lyaouanc

    Suite à son dernier tour à plaisir à la chasse chez Gagne, je vous remercie tous de penser à mon petit papa chéri.

    Souvenir de Monsieur Claude Lyaouanc par Jean-Claude Lyaouanc
    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    Elle est si belle cette photo. Merci mon grand frère de l'avoir amené dans son bois. Il aimait tant y aller avec toi. Je me souviens le jour où tu m'as envoyé cette photo. J'ai super heureux que tu aies su le convaincre d'y retourner. Il est heureux sur cette photo. 
  • Il y a 1 an
    Julien lyaouanc

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 1 an
    Morgane Gaëtan et Mathys Regeard-Salon

    Nous nous souviendrons de Claude nous lançant le bras levé un joyeux "ça va? " depuis sa terrasse. Et promis, nous continuerons à tailler la haie afin que Raymonde ait de la lumière dans le séjour, 
    Morgane, Gaëtan et Mathys

    Souvenir de Monsieur Claude Lyaouanc par Morgane Gaëtan et Mathys Regeard-Salon
    Il y a 1 an
    La famille de Claude
    Merci chers voisins et amis pour ces mots de réconfort. Et merci de votre présence régulière pour soutenir maman. 
send

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