Photo de Madame Christine Sieli

Christine Sieli

Née GUICHAUX
Décédée le 27 décembre 2023 à l'âge de 71 ans
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Photo de Madame Christine Sieli
Christine Sieli
Née GUICHAUX
Décédée le 27 décembre 2023 à l'âge de 71 ans

Cérémonie religieuse

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Hopital Andrée Mignot
Hôpital André Mignot 177 rue de Versailles 78150 Le Chesnay-Rocquencourt
78150 Le Chesnay-Rocquencourt
vendredi 05 janvier 2024 à 11h00
groups

Message de la famille

Chère famille, chers amis,

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Christine survenu mercredi 27 décembre 2023 à Le Chesnay-Rocquencourt. La cérémonie se déroulera le vendredi 05 janvier 2024 à 11h00 à l'adresse suivante : Hopital Andrée Mignot - Hôpital André Mignot 177 rue de Versailles 78150 Le Chesnay-Rocquencourt - 78150 Le Chesnay-Rocquencourt. La cérémonie se déroulera le vendredi 05 janvier 2024 à 16h00 à l'adresse suivante : Crématorium de Pierres - 12, Rue de l'Europe - 28130 Pierres.

Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

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Déroulé des obsèques

  • 1

    Cérémonie religieuse

    location_on
    Hopital Andrée Mignot
    Hôpital André Mignot 177 rue de Versailles 78150 Le Chesnay-Rocquencourt
    78150 Le Chesnay-Rocquencourt
    Le vendredi 05 janvier 2024 à 11h00
  • 2

    Cérémonie civile

    location_on
    Crématorium de Pierres
    12, Rue de l'Europe
    28130 Pierres
    Le vendredi 05 janvier 2024 à 16h00
  • 3

    Crémation

    location_on
    Crématorium de Pierres
    12 rue de l'Europe
    28130 Pierres
    Le vendredi 05 janvier 2024 à 16h30
  • 4

    Inhumation

    location_on
    Cimetière de la Vallée Favière
    2 Sentier des Noyers
    78990 Élancourt
    Le lundi 08 janvier 2024 à 14h30

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Hommages

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43 hommages ont été rendus dont 21 accompagnés de fleurs

  • Il y a 8 mois
    Philippe lhoumeau

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 8 mois
    Pierre Sieli
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 9 mois
    Pierre Sieli

    Hommage à la femme de ma vie Mon amour. Comme tu vois, tes enfants connaissent bien la mère et aussi la grand-mère aimante entreprenante et organisée que tu as été. Mais ils ne se doutent pas que tu étais pareil en amour. Une femme extraordinairement aimante, entreprenante et organisée. Je vais vous raconter notre histoire amoureuse, ce n’est pas trop pour les petits enfants mais votre mamie n’est plus là et vous avez quand même le droit de savoir qui était votre grand-mère et comment elle a tenu votre grand-père au pas. Quand je l’ai rencontrée, j’étais un garçon à peine sorti de l’adolescence. Ce n’était pas le 25 décembre 1970 comme croit mon cousin Pierre mais quelques semaines avant. Un bon copain pour moi, c’était quelqu’un avec qui je pouvais partager ma pratique de la danse de la guitare et des filles. J’avais un bon copain Youri depuis la 6ème grâce au club de natation du lycée, alors qu’avec Marc on n’était bon copains que depuis ce dernier été. Or, depuis cette rentrée des classes je n’étais pas très content de mon bon copain Youri. Il me racontait avoir rencontré une super fille, mature, riche, plus âgée et expérimentée que nous. Elle vivait dans une grande maison, elle avait des yeux scintillants comme le champagne, , avec laquelle il se voyait un grand avenir amoureux. Avait-il concrétisé avec elle n’était pas clair mais il semblait dire que la fille était facile en tout cas qu’elle n’était pas effarouchée. Bref des discussions de garçons, mais il ne me la présentait jamais alors qu’on avait plutôt l’habitude de sortir ensemble avec nos conquêtes et parfois même de les échanger … Youri avait beaucoup d’amis. L’un d’eux bien plus âgé que nous, organisait tous les WE après-midi des « boums » dans un sous-sol aménagé d’un immeuble à Paris du coté de Villiers, c’était sans doute gratuit ou presque en tout cas et il appelait cet endroit « La Jungle ». Quand je suis arrivé à La Jungle pour son anniversaire Youri m’a dit que sa copine était en bas. J’ai fait semblant de ne pas l’avoir entendu et je suis descendu immédiatement sans enlever mon long manteau de frimeur que j’avais acheté pour imiter mon séduisant copain Marc. Et je suis tombé sur 2 filles en bas de l’escalier, l’une très belle bien formée pulpeuse et très sensuelle, l’autre toute mignonne avec des taches de rousseur et des yeux comme des flashs. Alors j’y suis allé au culot je me suis approché pour faire la bise et au lieu de dire bonjour comment t’appelles tu je lui ai dit bonjour est ce que tu veux être la femme de ma vie ? Sa belle copine plantureuse m’a traité de plusieurs noms d’oiseaux,et mon copain Youri qui venait de descendre m’a gentiment informé que la fille à qui je venais de faire une déclaration était sa nouvelle petite amie Christine. J’ai rigolé comme d’une grosse blague et je me suis tourné vers d’autres filles. Mais le mal était fait, le ver était dans le fruit, et ce coup de foudre réciproque a grandi sur la piste de danse tous les WE qui ont suivi jusqu’à ce que Christine quitte Youri en lui disant qu’elle voulait sortir avec moi. Elle lui a demandé de nous inviter tous les deux chez lui à la fête de fin d’année 70 qu’il organisait chez ses parents le soir du jour de Noël. Youri m’a dit avec beaucoup de tristesse qu’elle lui avait demandé de me dire qu’elle voulait sortir avec moi. Donc quand je suis allé à cette soirée de fête avec mon cousin Pierre, je savais que c’était un guêt-appens mais je n’ai pas pu y résister. D’abord cette fille m’attirait comme un aimant, et aussi je pensais que c’était une bonne affaire « facile à concrétiser » puisqu’elle l’avait déjà fait savoir à tout le monde. Grossière erreur. En vrai Christine je suis sorti avec elle ce soir-là, j’ai passé la nuit avec elle dans la chambre à coucher d’à côté, mais c’était ceinture de chasteté, soutien-gorge blindé et compagnie comme jamais je n’avais subi ça avant !! Elle n’était pas du tout une fille facile ni une vierge effarouchée, elle était en réalité une vierge farouche qui avait décidé d’être ma femme ! Le grappin dessus c’était clair. Rien n’a été laissé au hasard. Je savais bien ce qui se passait mais j’ai tout subi tout accepté sans broncher, mes copains n’aimaient pas du tout ce qui se passait, ils étaient catastrophés car j’étais perdu pour eux, ils me le disaient et me recommandaient de ne pas me laisser mettre le grappin dessus comme ça. Un truc que tout homme normalement constitué aurait fui à grandes jambes, mais j’étais très très amoureux. C’était physique, physiologique, et ça me tétanisait. C’est donc elle qui a tout prévu, organisé, avec la complicité de sa mère et du médecin de famille, en cachette de son père bien sûr, et qui m’a imposé l’heure, l’endroit et comment ça devait se passer. Mais elle a été encore plus forte. Cet amour immense que j’avais pour elle n’avait pas enlevé mon tempérament de coureur de jupons, macho sûr de lui et vantard que j’étais. Après un an d’amour fou toujours croissant, je l’ai trompée une fois en croyant qu’elle pourrait l’admettre. Grossière erreur. Elle ne m’a pas pardonné. Je l’ai suppliée mais elle m’a quitté d’un coup sec comme un malpropre. Cette séparation a duré une année pendant laquelle j’ai essayé d’absorber mon immense douleur avec toutes les filles que je pouvais. Chris, que j’appelais mon petit bout de zan ne me disait rien de sa vie en sous-entendant qu’elle était très bien garnie ce qui me rendait fou. Mais elle me reprenait quand même une fois par-ci, une fois par-là, elle le faisait avec les autres disait-elle alors pourquoi pas avec moi . Elle m’a ainsi mené par le bout du nez comme elle voulait. J’ai subi 1 an de souffrance atroce, et puis d’un coup elle a décidé qu’elle pouvait me reprendre à condition que je lui sois fidèle. J’ai dit oui tout de suite. A partir de ce moment-là, c’était fini le comportement de Don Juan macho que j’étais. Je n’ai plus jamais approché aucune fille sans la mettre à distance d’une bonne longueur de perche. Je ne voulais plus connaitre cette souffrance de mon cœur et pendant les 50 années qui ont suivi je suis resté sage comme une image à ses côtés, malgré les apparences de grande mésentente qu’on a pu vous donner, notre amour est fort, robuste, éternel. Aujourd’hui ma chérie tu t’es éteinte mais pas notre amour. Merci d’avoir pris soin de moi comme tu l’as fait chaque jour de notre vie et de m’avoir chéri comme tu l’as fait. Tu es une femme exceptionnelle. Je t’aime pour toujours.

    Souvenir de Madame Christine Sieli par Pierre Sieli
  • Il y a 9 mois
    Pierre Sieli

    Hommages reçus pour mon extraordinaire épouse chérie J’ai reçu bien entendu énormément de messages de peine, de condoléances et de soutien de toutes parts. Je relève parmi tous ces messages quelques-uns qui relèvent qui était la femme de ma vie. De la part de - Marie Costa sa coiffeuse (et donc celle de toute la famille depuis … 1980 ?) : Christine était plus qu’une cliente pour moi, notre relation était plus que professionnelle. C’est une amie que j’ai perdue. - J’ai eu ce témoignage par plusieurs autres commerçants qu’elle fréquentait, car elle avait beaucoup d’empathie et suscitait toujours l’attrait des autres et souvent leur amitié - Viviane et Daniel NGUYEN ma soeur et mon beau-frère: Notre vie ne sera plus la même mais tu continueras d’en faire partie. Mon très cher Pierre. Il n’y a pas de mot pour te dire combien nous sommes touchés par la disparition de ta femme bien aimée. Je partage la peine et la tristesse tant c’était une personne agréable et aimante, appréciée de tous. Le vide qu’elle laisse est immense et nous manqueras à tous et mérité à jamais une place dans notre cœur. Toute la famille est à tes cotés pour te soutenir et à t’aider à surmonter ta douleur et ton chagrin dans cette épreuve difficile. Avec toute mon amitié, Daniel. - Fatima Nguyen : Ma 1ère belle nièce Malgré le choc et le désespoir, il faut être dans l’action, aussi digne que le courage dont a fait preuve Christine. Christine et Pierre, Pierre et Christine, indissociables, jamais l’un sans l’autre, comme c’est gravé dans nos alliances à Julien et moi. Vous ne serez jamais sans Christine dans votre cœur et dans votre tête. - Yvette et JJ. Broccard : les autres grands parents des enfants de Laurène notre fille. Cher Pierre, nous sommes profondément attristés et nous pouvons imaginer ta douleur. - Chantal Di Giovanni: ma cousine Mon cousin, ma peine est très grande. Christine a été admirable de courage et de ténacité. Pendant toutes ces années de traitement, de hauts et de bas à répétition, elle a toujours été optimiste pour faire des projets de vie, notamment en octobre la dernière fois que nous nous sommes vues chez Viviane, elle se réjouissait de venir au printemps voir comment j’e m’étais installée en Normandie. Je porte avec plaisir le foulard qu’elle m’a choisi et qui me restera avec tous nos autres souvenirs. Je suis de tout cœur avec toi pour diminuer ta peine et le manque que son départ va provoquer dans ta vie. - Pierre Faracci mon cousin : Cher Pierre et enfants, Christine ta femme, ta compagne de tous les instants, je ne l’ai vue que quelques fois, mais je me souviens très bien de ce lendemain de réveillon du 25 décembre 1970 où vous vous êtes connus et des quelques fois où nous nous sommes vus. Je garde d’elle le souvenir d’une femme et d’une mère forte, avec qui vous avez formé un couple une belle famille sans faille et rempli d’amour. - Famille Buisan Gutiérez, la famille de notre belle fille Marta : A notre amie - Jean-Baptiste Broccard, notre ex-gendre : Pensée à notre chère Christine - Et je veux aussi témoigner ici des autres nombreux famille amis et voisins qui m’ont donné de vive voix leurs mots leur pudeur et leurs larmes.

    Souvenir de Madame Christine Sieli par Pierre Sieli
  • Il y a 9 mois
    Vincent SIELI

    Hommage Vincent J'ai été dur parfois, bête souvent, insolent même ... Maman, tu m'as toujours accordé ton pardon avant même que je ne te le demande. Tes remarques et tes questions lucides m'ont fait avancer, et c'est en te regardant te battre que j'ai appris à ne jamais me laisser aller. « Je suis juste de l’autre côté du chemin » – Henry Scott-Holland La mort n’est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. Vous voyez, tout est bien.

    Souvenir de Madame Christine Sieli par Vincent SIELI
  • Il y a 9 mois
    Nicolas SIELI

    Hommage Nico (cérémonie civile) Tu es née le 6 février 1952 d’un père normand et d’une mère anglaise. Peu de gens le savent, mis à part les fervents fans de The Crown, mais il s’agit de la date de la mort de Georges VI, roi d’Angleterre à l’époque, et donc le moment où la future Elisabeth II devient alors reine ; c’était il y a 71 ans. Tu garderas toute ta vie cette passion pour l’Angleterre et en particulier la ville de Londres. Tu nous as fait passer cette passion, je bois difficilement du thé sans un nuage de lait le matin au petit déjeuner. Ton éducation tu l’as faites chez les bonnes sœurs : de ce cadre rigide, tu n’as pas perdu ta foi mais tu as surtout cultivé un certain anti-conformisme aux règles et ton esprit critique. Pour preuve lors de ton mariage, tu refuses de te marier en blanc pour lui préférer le vert, ta couleur préférée, celle de l’espoir qui sera finalement un leitmotiv dans ta vie. Nous avons compris sur le tard pourquoi tu adorais Noël : c’est normal, tu as rencontré l’homme de ta vie un 25 décembre 1970. Certains diront que tu as lui a mis le grapin dessus ce soir là. Tu étais Verseau, lui Bélier, les astres nous ont confirmé que c’était un cocktail explosif certes, mais nous ne serions pas là aujourd’hui pour raconter ton histoire si il en avait été autrement. Tu étais certainement destinée à être infirmière, ce que tu souhaitais réellement faire dans ta vie, te dévouer aux autres ; mais ton père et une certaine destinée en ont voulu autrement. Après avoir fini des études de secrétariat, tu travaillas un temps dans une boutique de chaussures. Mais tu refusas de porter l’uniforme que l’on voulait t’imposer, un de plus, et décida que non, tu te dédierais aux autres. Ces autres, ce seront tes enfants et ton mari : tu auras été femme au foyer, le plus beau métier du monde comme on dit (bien que le moins reconnu). Je préfère d’ailleurs à ce terme celui espagnol : « Ama de casa ». Littéralement « Âme de la maison », car c’est cela que tu étais vraiment pour nous tous. Tu nous as élevé tous les trois, éduqués et soignés avec des règles certes strictes, mais toujours dans un cadre harmonieux. Bien sûr, tu as pu pratiquer tes dons d’infirmière sur tes enfants chéris : nous ne comptons plus les arrachages de dents, prises de température avec thermomètre à l’ancienne et autres retournages d’ongles incarnés que tu exécutais avec maestria. Nos chiens successifs : Liska, Wilber et Syrie n’ont pas non plus échappé à ces châtiments. Mais tu étais perfectionniste et toujours la maison était bien rangée, impeccable, l’armoire à pharmacie et le frigo étaient bien remplis. Toi aussi, tu étais toujours parfaite, même pour sortir faire les courses ; il fallait que tu soies bien coiffée et bien habillée. Ce sont également ces valeurs-là de courtoisie, de discipline et de savoir être que tu nous as inculqué. Nous avons passé les années 80 les plus heureuses, entre notre passage aux Etats Unis où nous aurions pu rester, les week ends à Gouvieux, les vacances à Bernay, en Angleterre dans ta famille, à Blésignac, au Barcarès et surtout à Ronce les Bains, le lieu de tes vacances préféré et celui de ton enfance. En 1989, ton père est mort d’un cancer du poumon, cela t’as anéantie, tu as mis du temps pour t’en remettre. Toi qui étais aussi une fumeuse invétérée, tu as arrêté du jour au lendemain. Tu t’es alors occupée d’un autre grand enfant, ta maman, Granny, que tu as prise dans ta maison presque un an, le temps qu’elle trouve un logement. Tu te seras également occupé d’elle pendant 25 ans, chez elle d’abord puis quand elle a été placée en maison de retraite. Tu l’as toujours traitée avec dignité, à la hauteur de cette dame formidable qu’elle était elle aussi. Au début des années 2000, la mauvaise nouvelle que tu redoutais tant, tomba. Cette maladie que tu ne voulais pas attendre est quand même arrivée. Je me souviendrai toujours, c’était ma deuxième année d’école d’ingénieur. Tu as pris cette nouvelle avec optimisme et tu as décidé de vivre et de te battre. Tu as enchaîné les traitements et les rémissions. Les années 2010 ont été encore plus dures physiquement mais tes enfants t’ont donné une nouvelle raison de t’accrocher. Tes 6 petits enfants t’ont apporté la motivation supplémentaire pour résister de nombreuses fois encore à la maladie. Tu n’as jamais raté les moments importants de leurs vies, les naissances, les baptêmes, même si cela pouvait mettre en danger ta santé. En 2022, le couperet tombe. C’est la leucémie. Pourtant, tu n’as jamais eu autant de projets et autant d’espoirs qu’à ce moment-là : un voyage aux Etats Unis pour voir ta fille, un nouveau mobile home à la Palmyre, un voyage à Porto, un nouvel an sur la mer Baltique et un nouveau chien, Ula. Tout cela finalement comme un pied de nez à cette destinée que tu ne voulais pas voir écrite. Tu me disais souvent que tu avais peur de nous avoir transmis tes mauvais gênes : je te rassure nous nous portons bien. Même si tu pouvais avoir l’impression que nous portions un regard détaché face à ta condition, rassures toi, c’est que tu nous transmettais encore et toujours ton espoir et ta rage de vivre. Nous avons passé ces derniers jours en famille avec presque tous tes petits enfants, tes belles filles, nous avons investi littéralement ta maison, c’est d’ailleurs un joyeux bordel que tu n’apprécierais pas forcément. Nous nous sommes remémorer les choses que l’on peut se raconter, les choses que nous garderons pour nous et toutes ces petites anecdotes qui remontent au fil des photos et du grand livre de ton histoire. Nous t’avons préparé justement un recueil de photos souvenirs que nous avons inhumé de nos diverses bibliothèques. On pourra émettre des réserves sur tes coiffures, surtout celle des années 80, tes changements intempestifs de lunettes (ta coiffeuse et ton opticienne te pleurent, nous savons pourquoi maintenant !), une seule chose est sûre, tu as toujours été parfaite. Merci pour tout Maman, nous t’aimons tendrement. Tes enfants

    Souvenir de Madame Christine Sieli par Nicolas SIELI
  • Il y a 9 mois
    Laurène SIELI

    Hommage Laurène (lecture à la cérémonie religieuse) Maman était une femme généreuse et au grand cœur. Gaie et pétillante, elle n’avait pas sa langue dans sa poche et était peu conformiste. Bonne vivante, elle racontait ses anecdotes (et les nôtres) sans pudeur. De manière affectueuse, on la disait tête de mule et soupe au lait. En réalité, elle avait une grande force de caractère. Elle était déterminée et perfectionniste. Elle était toujours dynamique et allait de l’avant. Elle prenait les choses en main. Femme au foyer, elle était une mère aimante et dévouée. Elle nous soutenait dans les épreuves. Elle aimait les animaux et les enfants. Ses enfants et ses petits enfants ont été sa plus grande joie. Elle nous a guidé durant toute sa vie, et était le pilier de notre famille. Toute sa vie elle a démontré force et courage Elle s’est battue avec force et résilience contre sa maladie durant 23 ans. Pour cela aussi nous l’admirerons toute notre vie. Merci pour tout ce que tu as fait pour nous Maman. Tu vas nous manquer terriblement.

    Souvenir de Madame Christine Sieli par Laurène SIELI
  • Il y a 9 mois
    Pascal Faracci

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 8 mois
    La famille de Christine
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 9 mois
    Christine et Antoine Faracci

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 8 mois
    La famille de Christine
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 9 mois
    Céline Schlienger

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 9 mois
    Nico
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 9 mois
    PATRICK BRILLET

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 8 mois
    La famille de Christine
    La famille a répondu à cet hommage
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