Anne-Michèle VACHIER

Nous avons été très tristes d'apprendre le décès de celle que nous appelions Bibiche, votre maman.
Nous sommes bouleversés d'apprendre son décès avec autant de retard, faute à nous de n'avoir su garder le contact, et même imaginer que Bibiche que nous ne voyions pas changer avec les années puisse disparaître aussi vite.
Ces jours-ci, nous cherchions à reprendre contact pour passer la voir cet été dans les Vosges, supposant que la tradition de vacances vosgiennes se poursuivait toujours.
Vous ne souvenez peut-être pas de nous, nous habitions Bois d'Arcy et venions manger le soir chez vous, plus souvent que le contraire, je crois, parce que votre maman avait toujours à manger pour 4 de plus. Il y avait un côté familier dans notre façon de nous voir, sans façons, de passer à l'improviste les uns chez les autres, de se rendre service tout naturellement, relation que nous n'avons pas retrouvée ailleurs.
Nous avons quitté Bois d'Arcy pour Avignon en 1994, et ne nous sommes plus guère vus, qu'une fois au Thillot, à l'occasion d'un passage dans les Vosges, car nous avions aussi une maison.
Nous étions dans la même promo que vos parents à l'Agro.
Nous avons beaucoup de bons souvenirs avec eux, que ce soit pendant nos études ou après.

C'est avec tristesse que nous apprenons le déces de votre maman. Nous communiquions lors de nos rencontres sur le marché, de nos enfants qui étaient ensemble chez la même Nounou il y a bien longtemps. Nous vous présentons toutes nos sincères condoléances. Bon courage và vous
Marie et Christian BAUDET

A notre tante Nenette, toujours douce et tendre avec nous... 💐💐

Tout mês condulences a tout la famille .  jamais serai oblié lá doce et gentil madame Vachier. 

Cela fait 20 ans maintenant que j'habite la rue, et cela fait 20 ans que je croise le sourire (toujours présent) et la douceur (toujours présente) d'Anne-Michèle.
Pendant des années, en rentrant du boulot en voiture, j'avais cette petite pensée qui m'éffleurait : "tiens, peut-être qu'aujourd'hui je vais voir la silhouette familière qui rentre d'un pas régulier, toujours le même, calme et assuré, à la maison". Et parfois, bingo, elle était là. Et nous finissions la route ensemble. Moi, jamais vraiment sûre que je n'avais pas interrompu de façon inopportune le fil de ses pensées, jamais sûre qu'accélérer un retour était vraiment un service, mais contente quand même de partager un moment fait d'échanges sur tout et rien et qui participe aussi au bonheur de la vie.
Ce rayon de soleil et d'humanité qu'elle portait partout avec elle, elle le laisse dans nos coeurs en partant. Merci Anne-Michèle.

J'ai été vraiment attristé d'apprendre la disparition d'Anne Michèle, que je rencontrais régulièrement lors des cours de langues, et que j'appréciais.
Elle nous manquera, hélas.

J'adresse mes sincères condoléances à toute sa famille.